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 Éveille des sens... [Alexa]

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Oliver Palmer
Esclave des Femmes

Oliver Palmer


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MessageSujet: Éveille des sens... [Alexa]   Éveille des sens... [Alexa] Icon_minitimeMar 31 Mar - 18:58

    ~ Effluves ~


    Une créature dans une cage. Une bête, un animal. J’ouvre les yeux mais je ne vois rien. Il fait tellement noir que j’ignore même si mes yeux sont ouverts ou fermés. J’ai peur. Je l’avoue, j’ai peur. Moi qui n’ai jamais rien crains de ma vie, sauf peut-être l’échec à mes examen de droit mais cette situation est un calvaire à côté. J’ignore où je suis. J’ai terriblement mal à la tête. J’inspire profondément comme si mon corps avait oublié de le faire depuis trois ou quatre heures. Une odeur emplie mes poumons mais elle ne me fait penser à rien que j’ai pu sentir de toute ma vie. Comme une odeur de nature, de forêt, mêler à la poussière. Mais l’essence la plus présente dans cet effluve envahissant est celle de la mort. Hier encore, j’ignorais ce que pouvait sentir la mort mais maintenant que cette odeur me pénètre de plein fouet, je ne peux que la reconnaître. Comme la chatte qui reconnaît toujours son chaton même après avoir été séparée de lui à la seconde où il est sortit de son ventre, cette mère, la mort, me reconnaît et vient à moi. Et moi, je ne sais que trop qui elle est. Je ferme les yeux. J’ai peur...

    ~ Caresses ~


    De mes mains tremblantes, je caresse la paroi qui se dresse à côté de moi. Un mur. Je touche ce mur humide fait de pierre. Je cherche du bout de mes doigts la possibilité de creuser dans ce mur même si je sais très bien qu’on ne creuse pas la pierre. C’est le désespoir ou encore la peur qui me fait agir de la sorte. J’oublie toute logique, je cherche du bout de mes doigts frêles la faille à explorer pour me sortir de cette merde mais bien entendu, je ne trouve rien. Pris de panique, mes doigts s’accélèrent, fouillent, grattent. Le souffle court, je ne m’arrête que lorsqu’un de mes ongles de la main gauche se casse contre la pierre. La douleur est majeure dans mon annulaire. Ma mâchoire se crispe, les dents serrées, je retiens un cri mais lâche contre mon gré un grognement. Autour de mes poignets, des bracelets métalliques (nul besoin d’avoir un casier judiciaire pour reconnaître des menottes quand elles nous serres les poignets) reliés à une chaîne tout aussi métallique me retiennent à un anneau de fer planté dans le mur. Sans être remis de ma douleur, je tire de toutes mes forces sur l’anneau mais, plein d’arrogance, il refuse de bouger d’un seul centimètre. Je grogne encore mais cette fois de rage.

    Alors que mes muscles se remettent de l’effort que je viens de fournir, une brise fraîche sortie de je ne sais où caresse mon corps et c’est seulement à cette instant que je réalise qu’à l’exception de mes nouveaux bracelet, mon corps est entièrement nu. Le vent frais se perd dans les poils de mon pubis, dans la raie de mes fesses... Putain de merde ! On m’a dévêtit. Bon, je ne suis pas vraiment pudique mais cette nudité non désiré n’a pour effet que de me rappeler mon impuissance. Je suis un animale en cage, une créature captive, sans aucune défense...

    Pour ne pas pleurer mon désespoir, je ferme les yeux...


    ~ Saveurs ~


    Alors que j’ai les yeux fermés, je tente de me rappeler la veille, alors qu’innocemment, je ne faisais que vivre sans profiter de la vie. Je me rappelle de mon dernier repas au restaurant, alors que j’avais encore ma liberté. Je me souviens avoir manger une salade d’épinard, de boeuf et de bleu arrosé d’un des meilleurs vins d’Italie. J’avais tout avalé sans réellement goûter, sans réellement apprécier. Je croyais alors naïvement que j’aurais de ces repas luxueux pour le reste de mes jours. Aujourd’hui, un simple verre d’eau me ferait le plus grand bien.

    Comme une torture, l’idée de ce verre d’eau s’impose à mon esprit. J’ai soif. Tellement soif ! J’ai l’impression de n’avoir rien bu depuis trois jours. D’ailleurs, c’est peut-être le cas. Je pensais à mon dernier repas comme s’il s’agissait de la veille mais en fait, qu’en sais-je ? J’ignore depuis combien de temps je suis là. Et puis d’ailleurs, où suis-je ?

    Ma langue colle contre mon palais desséché. Mes lèvres sèches sont gercées. Bon sang, je dois être affreux à regarder. L’avocat en moi pense que les personnes qui m’ont fait ça vont le payer mais l’homme de droit se tait rapidement. Je ne pense pas vraiment à punir mes assaillants. Dans l’instant, je ne pense qu’à sortir d’ici encore en vie.

    Ou alors, qu’on m’achève sans douleur...


    ~ Tintements ~


    J’ignore où je prends la force, mais je me relève suffisamment pour m’assoire et m’appuyé le dos contre ce mur maudit que je cherchais à percer. Je sens la paille sèche dispersée sur le sol qui semble également fait de pierre qui me colle à la peau des fesses et des cuisses, colle à ma sueur. Je réalise seulement à l’instant que j’ai atrocement chaud. Pourtant, je tremble. Je replie les jambes, les plaques à mon ventre, comme pour me cacher, me sécuriser, me faire petite boule dans le fond de ma prison. En bougeant, j’entends le cliquetis de la chaîne qui me retient contre le mur. Je me sens sale. Je suis nu, je sue et je suis sale. Encore une fois, je suis sûrement affreux à regarder.

    Mais ces pensées superficielles sont rapidement effacées par un son qui vient de loin. Des pas. Quelqu’un approche. Je me sens à la fois soulagé et terrifié. J’ignore ce que la personne qui vient à moi me réserve. J’entends un tintement de clé, une serrure qui se déverrouille. Quelqu’un vient à moi...


    ~ Lumière ~


    Grinçante sur ses gons, la porte qui semble lourde finit par s’ouvrir alors qu’une lumière vive pénètre dans la pièce. Derrière la porte, bien sûr, quelqu’un se tient debout mais la personne ne bouge pas encore. Moi, je suis incapable de voir cette personne, aveuglé par la lumière nouvelle qui se déverse sur moi. Tout ce que j’arrive à voir, ce sont les barreaux de ma cellule (du coup, je comprends que je suis dans une cellule) qu’il y a encore entre moi et la personne. Donc, je suis menotté, enchaîné à un mur, derrière des barreaux ET enfermé à clé dans une pièce... Mais peut-être y a-t-il plus d’une cellule dans cette pièce. Peut-être ne suis-je pas le seul prisonnier...

    Mais bon Dieu, qu’ai-je fait pour me retrouver encore plus mal traité qu’un meurtrier ? Alors que mes yeux s’habituent à la lumière, tremblant de tous mes membres, me posant mille questions quant à mon avenir proche, je fixe la forme humaine dans le cadre de la porte, sachant qu’elle tient ma vie entre ses mains, attendant de voir si elle est amie ou ennemie, ce qu’elle veux de moi.

    Dans cette seconde qui me semble éternité, je sens, j’écoute, je touche, je goûte, je regarde... Mais surtout, j’attends, silencieux, le moindre signe qui m’apportera un quelconque soulagement ou alors une vraie raison d’avoir peur...
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Alexa Tsukuya
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Alexa Tsukuya


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MessageSujet: Re: Éveille des sens... [Alexa]   Éveille des sens... [Alexa] Icon_minitimeMar 31 Mar - 23:52

    Le passé resurgit

    Une petite chienne. Sa peau est si douce… Tu vas faire tout ce qu’on te dit petite poupée… Laisse nous te lécher, savourer tes sublimes effluves…
    Ils riaient, de véritables porcs. Si je bougeais, si je n’effectuais que le moindre mouvement ils me tueraient. Mais est-ce que la mort n’était pas une délivrance vis-à-vis ce qu’ils me réservaient? Certainement, mais je n’étais pas prête à mourir, pas aussi jeune… Je n’ai que 19 ans. Ce soir là, ils m’ont battue, ils m’ont salie, humiliée… Je n’ai plus jamais été la même… Ses cauchemars, ses souvenirs me rendaient tous plus forte.

    Retour à la réalité

    Mes yeux s’ouvrirent rapidement, comme à tous les matins. Je restais longuement dans mon lit, le corps poussé par des tremblements, humidifié par la sueur. Comme à tous les jours ce n’était qu’un éternel recommencement, je devais affronter à journée, les hommes, je devais faire mon bout de chemin. Sinon, aussi bien me laisser mourir, me perdre dans ce que je craignais le plus, dans les bras de mon mari. Cet homme était sur cette île. Il était parmi les femmes, près de moi. Mais je n’allais pas le revoir. Pas maintenant, je n’étais pas prête. Je devais être la plus forte. Lorsque j’irais à sa rencontre je serais devenue si forte qu’il le sentirait simplement en me regardant. Il tremblerait de peur à mon odeur, à mes bruits de pas. Je me le réservais, et je le détruirais. Je ne sortais que très rarement. Parfois je me rendais à la prison, sans qu’il me voie. Je n’ouvrais pas les lumières, je ne voulais surtout pas qu’il sache que je suis là. Il ne savait pas que j’étais sur cette île, mais cela me gênait, puisque je ne pouvais pas rencontrer d’autres prisonniers, je ne pouvais pas m’endurcir. Alors je passais énormément de temps dans la salle d’entrainement, je me rendais plus forte, plus en forme. C’était mon petit manège depuis des semaines. Puis j’appris la venu d’un homme un peu spécial pour moi sur l’île. Un homme devenu esclave, donc pas aussi dangereux que les prisonniers. Mais ce n’était pas quelqu’un d’ordinaire. Du moins pour les autres femmes peut-être mais pour moi c’était une opportunité qui ne se représenterait pas. La chance d’affronter mon mari indirectement. Il était avocat, exactement comme l’homme qui m’avait détruit. Il avait 28 ans, pareil comme celui qui m’avait traité comme un animal. Et physiquement il lui ressemblait. Ce n’était pas mon mari, mais ce pouvait être une solution de rechange jusqu’à ce que je sois capable de l’affronter n’est ce pas? Oh oui, c’était parfait même.

    L’on m’annonça qu’une femme avait sortit mon homme de la prison, qu’elle comptait certainement lui faire payer un peu. C’était parfait, je pouvais donc me rendre là-bas sans crainte, sans paraître effrayée. Je pouvais me montrer sous ma nouvelle couverture, celle de la femme froide, celle qui apprendrait à faire souffrir. J’avais survolé le dossier de l’esclave. Oliver Palmer. Un homme qui avait fait souffrir des femmes. Il les avait humiliés et faits souffrir mentalement. Il n’était certainement pas un monstre comme mon mari, mais c’était une belle ordure. Et lui, il n’avait pas fait souffrir qu’une seule femme, il en avait un peu plus à son actif. J’avais enfilé des vêtements provocateurs. Toutefois, c’était sans jamais en dévoiler davantage qu’il n’en fallait. Mes formes étaient bien dissimulés, mais je n’en restais pas moins très sexy. Je savais comment étaient les hommes. J’avais connu assez de ses pourritures pour savoir ce qui les attiraient. Cet Oliver était attaché dans une cellule. J’avais le droit de le libérer. Les esclaves n’étaient pas tenus prisonniers. Mais je devais m’assurer qu’il était bel et bien à la bonne place, si il ne méritait pas plutôt le statut de prisonnier. Donc, mieux valait pour mon petit animal qu’il soit bien doux et agréable envers moi…

    Lentement, je me dirigeais vers la prison. Je portais un teaser à l’arrière de mon short, bien dissimulé sous mon t-shirt. Histoire qu’on ne me le retire pas. À mon arrivée j’en profitais pour ouvrir la lumière. Pour être venue souvent dans la noirceur, je sais très bien qu’elle n’a pas souvent été utilisée. D’ailleurs des jurons et des gémissements fusèrent de partout. Un sourire se glissa sur mon fin visage. Tient, ce n’était pas si difficile d’être méchante…
    J’avançais lentement vers la cellule de mon animal et je déverrouillais doucement. Je vins m’accroupir près de lui et je caressais son visage rugueux de ma main délicate.

    « Monsieur Palmer… Vous n’auriez pas commis un crime par hasard? Vous auriez besoin d’un avocat? » dit-elle d’une voix douce et basse. J’avais l’air sérieuse, et je semblais même triste pour lui. Mais savait-t-il seulement à quel point je pouvais le détester? Je le détestais presque autant que mon propre mari. Ils se ressemblaient après tout.
    « Vous avez le droit de garder le silence … Si vous n’avez pas d’avocat, Nous en désignerons un pour vous… » ajoutais-je sur le même ton. Sauf qu’un mince sourire perça mes lèvres.
    « Oh … excusez-moi … Nous n’avons pas d’avocat pour vous malheureusement… »
    Un coup fusa après ses paroles. Ma main était partie, directement sur la joue du malheureux. Une fois puis une autre fois. Mes yeux lançaient des éclairs. Mais je ne m’étais jamais sentie aussi bien. J’avais l’impression d’être libérée. J’étais celle qui détenait les pouvoirs… Je n’étais plus la soumise et je ne le serais plus jamais…
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Oliver Palmer
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MessageSujet: Re: Éveille des sens... [Alexa]   Éveille des sens... [Alexa] Icon_minitimeMer 1 Avr - 14:42

    ~ Enchaîné ~


    Recroquevillé dans ma cellule, je tremble malgré la chaleur suffocante qui règne ici. Puis, la silhouette avance vers moi comme une ombre menaçante. Mes yeux commencent à se faire à la lumière et ma vision est moins trouble. La personne approche assez près de moi pour que je distingue qu’il s’agit d’une femme. Malheureusement, je ne ois rien dans ses mains. Pas de plateau de nourriture, pas de bouteille d’eau. Les chances que la dame soit venue en amie sont minces mais je continue naïvement d’espérer un peu de réconfort d’elle. La femme est mince et semble jolie quoique je ne distingue pas encore très bien ses traits. Féminine et déterminée à la fois, elle ouvre la grille de ma cellule et pénètre dans cet espace retreint. Son visage plus près, j’aperçois enfin ses traits. C’est une jolie asiatique aux traits fins, au teint clair, à la peau parfaitement lisse mais dont les yeux vers moi rivés n’augurent rien de bon.

    Elle ouvre ses fines lèvres pour me demander si j’ai commis un crime. Elle me demande si j’ai besoin d’un avocat. L’espace de quelques secondes, je crois lire de la compassion dans ce regard qui me semblait si cruel l’instant d’avant.

    Un crime ? Quel crime aurais-je pu commettre ? Je n’ai jamais détourné la loi d’aucune façon et j’ai suffisamment étudié cette dernière pour le savoir. Bon, j’ai bu beaucoup d’alcool lors de mes folles années universitaires mais jamais je n’ai franchis la limite de la légalité. Pour ce qui est de mes soirées avec Pearl, ma tendre et douce, elles étaient osées, certes, parfois même à la limite du bon goût, mais elles se déroulaient toujours entre adultes consentants. Ma mère et mon père ont suffisamment frappé sur la jeune pousse que j’étais enfant pour que la plante pousse droit. J’ai toujours été à mon affaire, toujours emprunté le droit chemin.

    Mais où avais-je la tête ? Ceci n’a rien à voir avec la loi qui gouverne la société. Si tel était le cas, je ne me serais pas fait enlever chez moi et je ne serais pas séquestré ainsi. Non. C’est quelque un qui veut se venger de moi... Mais qui ? Un client insatisfait ? C’est impossible. Ma carrière est jeune et mes clients ont toujours été, si ce n’est pleinement satisfait de mes services, gâtés par la résolution de leur dossier. Je n’ai aucun échec à mon tableau. Je suis un excellent avocat !

    Alors, peut-être s’agit-il de June... Une revanche sur nos deux enfants perdus (enfin, je dis deux car ce sont ceux dont j’ai été conscientisé mais après tout, qu’en sais-je?) et sur nos années de folle décadence ? Allons, soyons honnêtes, cette petite alcoolique de pacotille n’arriverais jamais à élaborer et encore moins financer un tel plan simplement pour satisfaire un besoin quelconque de sadisme envers celui grâce à qui elle ne fût pas affublé de nourrissons à sa charge. Franchement, c’était mieux pour tout le monde et surtout pour les enfants que ces grossesses soient interrompues. Et puis au contraire, elle devrait m’en être reconnaissant...

    Il reste donc Pearl et cette possibilité est beaucoup plus plausible. Financièrement ET logiquement. Je n’ai pas revu ma tendre et douce depuis un an, depuis qu’elle s’est tapée cette crise de larmes incontrôlable en plein milieu de l’une de nos soirées particulières. Peut-être m’en veut-elle. Peut-être m’aime-t-elle encore. Pour ma part, j’aimerais bien dire que je l’aime mais sincèrement, je n’en sais rien. Nos moments passés ensemble me manquent, bien sûr, et jamais je n’ai retrouvé une femme comme elle mais serait-ce les sentiments du coeur ou simplement le soubresaut de ma bite causé par le souvenir de ces soirées torrides qui me font parler ? Ça, je l’ignore...


    - Vous avez le droit de garder le silence … Si vous n’avez pas d’avocat, Nous en désignerons un pour vous… dit la jeune femme devant moi interrompant ainsi le cours de mes pensées romantiques (ou érotiques, je ne sais trop, mais très certainement énigmatiques).

    Un sourire se dessine, timide, sur ses lèvres et je souris aussi. Je suis un homme de lois, certes, mais cette phrase qu’elle vient de me dire, je l’entends pour la première fois. Bon, il est certain que je l’ai déjà entendu au cinéma mais dans le monde réel, non, je ne l’ai jamais entendu. Après tout, l’avocat arrive généralement APRÈS cet énoncé. Le sourire sur ses lèvres est contagieux. Elle est jolie. Elle semble douce. Et comme pour bien me faire comprendre que j’ai tort de penser ça d’elle, elle déclare que non, je n’aurai pas droit à de l’aide juridique avant de balancer sa main à mon visage...

    ~ Déchaînée ~


    Clac ! Non, elle n’est pas douce. Clac ! Non, elle n’est pas gentille. Clac ! Non, elle n’est pas venue pour m’aider...

    Et elle me gifle à plusieurs reprises, semblant prendre de plus en plus de plaisir à chacun de ses coups. La première gifle surprend plus qu’elle ne fait mal. La seconde pince et fait réaliser que le coup précédant n’était qu’un coup de pratique. La troisième secoue mais déjà, je commence à m’y faire...

    Et elle me gifle, encore et encore mais malgré la douleur sur mon visage rugueux de ces poils drus que je n’ai pas rasé puisque séquestré (et encore là, je me dis que je dois être affreux à regarder), je sens ses doits osseux et délicats, sa main frêle, sa peau douce. Ce n’est qu’une femme, quand même... Bon, je suis persuadé que si c’était sa volonté, elle pourrait me faire très mal, voir même m’arracher des larmes, mais dans l’instant, sa salve hystérique de gifles blesse davantage mon orgueil que mon épiderme. Mais j’ai pourtant très mal à l’orgueil... Qu’est-ce qui m’attend ici...

    Quand elle a terminé de me gifler de la sorte, je sens le sang me monter au visage. Je dois avoir la peau rougis et enflée. Bordel, je n’ai aucun besoin de me voir, je SAIS, je SUIS affreux à regarder...

    Mon corps veut encore trembler mais je me retiens du mieux que je peux. Je suis ligoté, je suis à la merci de cette femme brutale mais je refuse d’avoir l’air faible ou vaincu. Après la tempête de coups, alors que je sens la fille se calmer un peu, je relève la tête, l’air de défie, et plonge mon regard dans ces yeux bridés (pourtant magnifiques malgré leur cruauté) et je déclare d’une voix beaucoup plus faible que je ne l’aurais voulu :


    - Ça va ! Je vais me défendre moi-même...
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Alexa Tsukuya
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Alexa Tsukuya


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MessageSujet: Re: Éveille des sens... [Alexa]   Éveille des sens... [Alexa] Icon_minitimeJeu 2 Avr - 14:54

    J’ haussais les sourcils. C’était précisément ce que je désirais entendre. Lorsqu’il sembla sortir de ses gonds et qu’il me cracha qu’il allait se défendre lui-même… Quelle douce mélodie que d’entendre que je l’avais mis en colère. Au moins lui il avait une raison. Mon mari n’avait jamais eu besoin de cela pour me battre et m’humilier. Et il lui ressemblait tellement… Pratiquement son portrait tout craché. Je croyais que cela me troublerais, m’effraierait presque. Je ne suis pas aussi forte que je le démontre, mais je fais moins d’efforts que j’aurais crus… Toute cette colère me vient si naturellement… Je crois que je pourrais tuer cet homme, alors qu’il ne m’a rien fait du tout. Tout cela venait de mon mari, cette ordure. Mais également de ce que j’avais vécu lors de ce voyage en chine. Ce que l’on avait fait de moi là-bas… J’avais été traitée comme une véritable putain, une petite chienne, l’on avait brisé mon âme en plus de quelques uns de mes membres par les coups. Physiquement je me portais bien maintenant, tout avait guérie. J’avais bien quelques cicatrices par-ci par là, mais le fond de teint et les crèmes cachaient tout si naturellement… S’en était presque magique. Il ne pouvait rien voir, rien distinguer, ainsi, il ne savait rien de ma vie, de mon passé, je ne faisais que lui reprocher de vivre, et de ressembler autant à mon mari… J’avais déversé rapidement ma colère sur lui, en le giflant à de nombreuses reprises. Je sentis toutefois une vague de culpabilité m’envahir, lorsque je vis ses joues rougis, son air misérable… Il souffrait, il devait avoir soir, mal … Mais rapidement je perdis cette gentillesse. Ce n’était qu’une méprisable faiblesse. Il était stupide d’agir ainsi, vu tout ce que j’avais subi.

    Tu es un bien piètre avocat … Un jugement à été porté M. Palmer… » dis-je d’une voix doucereuse mais toutefois tranchante.

    Et je me redressais. Je sortis une minuscule lame que je portais à la cheville et j’entrepris de défaire ses liens. Pourquoi est-ce que je faisais cela. N’étais-je pas en train de me mettre en danger ainsi? Peut-être. Mais vu l’état lamentable de l’avocat, je doutais qu’il ne s’en prenne à moi. Et puis, j’avais l’avantage sur couteau et du teaser. J’étais forte et puis il y avait des gardiennes à l’extérieur. Un simple cri de ma part et il serait rapidement immobilisé. Peut-être valait-t-il mieux que je lui fasse part de ses quelques détails? Histoire qu’il ne tente pas une folie stupide? Peut-être… j’y songeais justement. Hmmm dieu que c’était difficile de faire deux choses en même temps! Les hommes ne disaient pas eux même que les femmes n’en étaient pas capables? Oh tant pis… Je ne pourrais pas l’aviser, trancher des liens et parler, trop compliqué pour mon petit cerveau de femme! Une femme au foyer! Alors que j’avais devant moi un grand avocat. Je terminais de défaire ses liens et je le fixais, de long en large, alors qu’il était nu comme un vers. Sans la moindre gêne. Je me perdais dans ma propre colère, ce que j’étais actuellement ne me ressemblais pas du tout…

    « Tu voudrais certainement que je te suce ordure… Tu aimes te sentir supérieur? Alors qu’est-ce qui t’excite pourriture??? » demandais-je d’un ton carnassier.

    Je me repris, j’allais trop vite. Mais le voir ainsi laissait déborder ma colère… J’étais tellement furieuse. Qu’il ose seulement me toucher cette ordure… Et je lui briserais tous les membres un à un. Je savais ce que cela faisait que d’avoir un poignet, un bras de cassé par les coups. Mais lui, il ne devait pas savoir… Je revins m’accroupir près de lui et je dis d’une voix basse :

    « La sentence? Être un bon petit animal ... Tu es un esclave ici, sinon tu deviendras un prisonnier, ton statut te permet de gouter au soleil de la plage, mais d’effectuer tout ce que l’on te demande… Tu vois? Les choses se retournes toujours contre soit… Tu prends les femmes pour des objets, pour des choses… pour des salopes. Maintenant, c’est toi la salope Oliver. »

    Ma voix était d’un semblant triste pour lui. Je glissais doucement ma main sur son torse, observant son beau corps. Les dernières relations sexuelles avec mon mari avaient été horribles. Je n’étais pas prête à en ravoir de si tôt. Cela ne m’intéressait absolument pas. Mais j’avais envi de jouer. J’étais une très belle femme après tout. J’avais envi de savoir si le grand avocat si intelligent était guidé par son membre… Ils l’étaient tous. Je ne voyais pas pourquoi il y ferait exception. Je vins près de lui, lentement, glissant toujours ma main contre son corps, toujours de plus en plus bas. Mais je ne touchais pas son membre, pas pour le moment…

    « Une Jolie petite salope… Qui fera tout ce que je lui dit… »

    Elle recula un peu et ajouta d’un air surprit :

    « Oh j’oubliais! Avez-vous quelque chose à dire pour votre défense M. Palmer? »

    Et elle attendait, comme si ce qu’il allait dire changerait quoi que ce soit. Non, il n’y pourrait rien. Surtout pas vis-à-vis Alexa, qui devait mépriser cet homme encore plus que tous les autres. Simplement pour ce rapprochement avec son mari. Simplement pour cela. Parce qu’il avait fait souffrir certaines femmes, aussi bien physiquement que psychologiquement et qu’elle n’accepterait pas cela. Aucunement. Elle était bel et bien brisée. Et elle désirait faire la même chose avec lui, c’était son punching bag, ensuite, elle serait capable d’affronter le plat de résistance… L’homme qui avait réveillé le tigre en elle. Un homme qu’elle avait aimé tendrement, et voilà ce qu’il avait fait d’elle.
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Oliver Palmer
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MessageSujet: Re: Éveille des sens... [Alexa]   Éveille des sens... [Alexa] Icon_minitimeVen 3 Avr - 7:26

    Après la tempête de coups, alors que je sens la fille se calmer un peu, je relève la tête, l’air de défie, et plonge mon regard dans ces yeux bridés (pourtant magnifiques malgré leur cruauté) et je déclare d’une voix beaucoup plus faible que je ne l’aurais voulu :

    - Ça va ! Je vais me défendre moi-même...

    Je regrette amèrement qu’en cet instant précis, je sois trop faible pour bander solidement afin de mettre ma bite rigide aux yeux de cette cinglée comme un affront, lui montré que je n’ai pas peur, lui montrer que je n’ai pas mal... Lui montrer qu’elle est incapable de me blesser... Mais au lieu de ça, ma bite repose mollement le long de ma cuisse droite, ne remuant que lorsque le reste de mon corps remue également. C’est un peu triste de la voir ainsi, non que sa taille ne soit respectable, même au repos elle a fière allure, mais il est néanmoins quelque peu navrant de la voir inerte alors que je voudrais la voir faire un pied de nez à cette garce. J’ai déjà très peu d’estime pour cette folle mais j’en ai encore moins lorsqu’elle insulte mes capacités à faire mon job. J’ignore sur quoi elle se base mais cette offense gratuite n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd. Je grince un « Garce ! » entre mes dents serrées mais j’ignore si elle a entendu... Je ne crois pas en fait, car elle sort un couteau de je ne sais où. Du coup, j’arrête de rire, de trembler ou de m’enrager contre cette folle armée. Immobile, j’attends de voir où elle dirigera cette lame qui semble destiné à m’ouvrir la gorge. Mais non, encore une fois, je me suis inventé un de ces scénarios catastrophe... J’ignore pourquoi elle prend un couteau pour me libérer de mes menottes mais sans doute elle voulait-elle me donner la frousse. Bravo petite tu as réussi mais ne t’en vante pas trop, je saurai me venger !

    La fille me regarde longuement (faut croire que je lui plaît, à la petite) avant de lâcher :


    - Tu voudrais certainement que je te suce ordure… Tu aimes te sentir supérieur? Alors qu’est-ce qui t’excite pourriture???

    Je suis déconcerté, bien sûr, mais je me ressaisi. À ce jeu-là, j’ai l’habitude d’être le plus fort...

    - Une jeune et délicate petite japonaise qui parle comme un camionneur, ça, c’est déjà pas mal pour m’exciter...

    Je regrette amèrement qu’en cet instant précis, je sois trop faible pour bander solidement afin de mettre ma bite rigide aux yeux de cette petite perverse qui se régalement de ma plastique parfaite. En général, je n’ose qualifier ma plastique de parfaite (nous avons tous des défauts, tout le monde en a) mais cette femme a le don de faire ressurgir en moi tout l’arrogance dont j’ignorais moi-même être pourvu. Mais non, je ne bande pas alors, je me contente d’ouvrir les jambes afin de lui offrir une vue imprenable sur l’objet de son désir. Elle veut mate, qu’elle mate... Il y a de la qualité ici...

    Étonnamment, mon réflexe premier quand elle achève de me démenotter très agilement avec son instrument n’est pas de me lever et de courir. Je ne suis pas idiot. Je me doute bien que la charmante nippone ne m’a pas enlevé et traîné ici toute seule. C’est une organisation... Et s’ils ont été capables de faire ça, ils ne sont certainement pas assez cons pour laisser une femme seule sans aucune protection avec leur otage. Mais le terme est-il bien choisi ? Suis-je un otage ? Y aura-t-il rançon ? La fille m’explique quel sera mon rôle ici mais jamais elle ne mentionne la fin de l’histoire... Suis-je ici en attendant quelque chose ? D’après ses explications, j’en déduis que non. Je semble être ici dans l’optique de rester ici... Je me dis, donc, qu’il y a forcément toute une troupe de joyeuses sauvageonnes qui m’attend dehors, armée jusqu’aux dents, qui rêve de me faire la peau si j’ose désobéir. Non, j’opte pour la prudence. Je reste sagement assis, me frictionnant mes poignets douloureux. Je suis de toutes façons trop faible pour tenter une évasion. J’ai mal au crâne, je me sens faible, et j’ai soif... Tellement soif... Je boirais n’importe quoi ! Un verre d’eau fraîche, une bière froide, un Fanta glacé... Ho oui ! Un Fanta ! Mon royaume pour un Fanta...

    Alors que je fantasme sur mon Fanta, la fantastique asiatique semble avoir envie de rendre justice à mon justicier... Elle caresse mon torse lentement, mes pectoraux, mes abdominaux... Sa main baladeuse semble de plus en plus curieuse...

    Je regrette amèrement qu’en cet instant précis, je sois trop faible pour bander solidement afin de mettre ma bite rigide dans cette main délicate (voir osseuse) qui désire mon désir... Cette fille me rend fou. En quelques secondes, elle a réussis à me faire trembler de peur, m’enrager mais pourtant, maintenant, je donnerais tout ce que j’ai, incluant un verre d’eau, pour me faire ne serait-ce que branler par cette petite. Quand ça tourne autour du sexe, je perds la tête, oubliant le danger ou la haine. Je suis un homme faible... Cette fille est complètement folle !


    - Une Jolie petite salope… Qui fera tout ce que je lui dis…

    Elle dit ces mots qui sonnent terriblement érotiques à mes oreilles. Je serai sa salope, je lui obéirai... Dans la seconde, cette situation ne me semble plus aussi désagréable, bien au contraire !

    M’abandonnant, elle se relève et semble vouloir me quitter mais avant de m’abandonner à mon sort, elle se retourne afin de me demander si j’ai quelque chose à dire pour ma défense. Pour la première fois, je souris franchement. Je me cale contre le mur, place une main derrière ma tête, exposant mes muscles à la jeune dame, livrant mon corps entier à son plaisir occulaire. J’étire une jambe et je viens caresser la cheville de la fille du bout de mon orteil. Je lui souris pleinement de mes dents que je sais parfaitement blanches.


    - Non, ma jolie ! Je n’ai plus aucune envie de me défendre... Je sens que je vais me plaire ici... Surtout si tu termines ce que tu as commencé...

    Je regrette amèrement qu’en cet instant précis, je sois trop faible pour bander solidement afin de... Ha ben voyez-vous ça ! Je ne suis pas trop faible, finalement...
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Alexa Tsukuya
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Alexa Tsukuya


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MessageSujet: Re: Éveille des sens... [Alexa]   Éveille des sens... [Alexa] Icon_minitimeSam 4 Avr - 17:06

    Elle n’était pas encore assez forte. Elle n’avait pas encore assez d’imagination. Elle devait être cruelle, sans la moindre réticence à faire souffrir… Il était comme lui, pour ces deux hommes, la femme n’était que l’objet à assouvir les désirs les plus bas, les plus vils…

    « Tu vas me baiser Alexa … Tu vas faire ce que je te dis SALOPE!! »
    Elle obéissait… La jeune femme avait tellement peur qu’elle tremblait et qu’elle fit glisser ses dents sur son membre lorsqu’il le força dans sa bouche… Ou dans sa gueule comme il le disait si bien.
    « Tu es si conne que tu ne sais pas encore comment sucer ou quoi??!! »
    D’autres coups, il se mit à la frapper, encore et encore. Et ils ne baiseraient pas parce qu’il s’était encore laisser aller. Elle ne pourrait pas sortir durant plusieurs jours, il lui interdirait pour ne pas qu’elle montre ses blessures. Puis il serait si gentil… Qu’elle oublierait. Ou il serait si méchant, qu’elle aurait trop peur pour agir. Fin stratège, il savait comment agir avec la belle asiatique… Il savait ce qu’il devait faire.


    Elle était figée, comme perdue dans ses pensées. Voilà ce qui la rendait faible. Il l’effrayait. Il lui ressemblait tellement après tout qu’elle ne savait plus comment agir. Ce qu’il dit la laissa sans voix, figée de stupeur. Pourtant ce n’étaient que des paroles. Sa seule réaction fut de le frapper, solidement à la figure. Elle avait perdu son calme, montrant qu’elle n’était pas si forte. Cela ne devait que lui faire plaisir et ne fournissait à l’asiatique que davantage de honte et de colère.
    « Je … je ne ferais rien de tout ça… » bégaya-t-elle d’une voix faible, une lueur de crainte traversa le beau regard de la japonaise et disparu aussi rapidement qu’il était arrivé. Alors que lui il ne devait absolument pas comprendre un traitre mot de ce qu’elle racontait. Que lui arrivait-t-elle?? Elle ne pouvait pas se montrer aussi faible devant lui, elle perdrait toute crédibilité! Que croyait-t-il donc? Qu’il avait le dessus cette ordure? Qu’il pouvait s’adresser à elle de cette façon? Devait-t-elle lui enseigner les bonnes manières en plus?? Oui visiblement… Elle était venue dans le but de se faire la main, d’être parfaite dans tous les sens du terme. Elle voulait rendre son mari fou… Fou de désir, fou de rage et de douleur. Elle allait s’exercer sur cette cible de choix, en espérant qu’il ne soit pas un trop gros requin, car elle n’était pas encore tellement expérimentée… Elle avait reprit son aplomb, son regard se voulait dur et tranchant. Elle voulait lui faire payer ses paroles. Elle l’avait démenotté mais elle ne craignait pas qu’il s’en prenne à elle. En dehors de la prison il y avait bon nombres de femmes… Toutefois si il parvenait à lui faire garder le silence, il pourrait certainement s’en prendre à elle. C’était simplement un risque assez grand à prendre…

    « Tu te plais? Tu sais ce que la jolie te dit? Elle aimerait t’aider à te plaire un peu plus … Tu sembles un peu amorphe non? » demanda-t-elle d’une fausse voix naïve. Puis soudainement, son regard se posa sur son entre-jambe. Sur ce qui venait de grossir et de pointer vers elle. Le membre de cette ordure qui semblait la fixer avec envi. Alexa sentit une vague de rage et de dégout l’envahir. Mais elle conserva son calme et esquissa plutôt un sourire… Un magnifique sourire alors qu’elle posait ses mains sur le pénis de l’esclave. Elle se mit à le masturber vigoureusement, sachant parfaitement comment faire pour lui plaire. Son mari lui avait fournit diverses techniques pour l’exciter davantage. Bref, elle savait s’y prendre bien malgré elle. Elle semblait presque soumise même, une parfaite petite pute qui s’amusait avec le membre bien en érection de son mari… Si ce n’était pas adorable…

    « Oui fait moi confiance M.Palmer … Je ne suis pas du genre à abandonner ce que je commence… » dit-t-elle d’une voix doucereuse qui ne laissait rien présager de bon. Mais lui, il semblait complètement ailleurs. D’ailleurs elle poursuivit ainsi un moment, jusqu’à ce qu’elle le sente se crisper, se tordre un peu pour ne pas exploser immédiatement… Elle avait quelque chose derrière la tête, ou plutôt, dans le pantalon elle aussi, mais pas du même calibre. Plus Électrisant quand même… D’un geste vif elle sortit le teaser, et sans qu’il n’ai le temps de réagir elle l’appuya contre son membre et envoya une décharge de quelques secondes. Un décharge très forte à cet endroit de la physionomie masculine … Oh … Elle n’osait même pas imaginer la douleur. Elle observait sa réussite d’un air amusée. Le membre d’Oliver était toujours bien bandé, toutefois elle doutait qu’il ressentait l’envie de se vider cette fois…
    « Oh voilà … C’est bien terminé je crois n’est-ce pas? » demanda-t-elle d’un ton adorable alors qu’elle le regardait souffrir… Quel magnifique spectacle. Cela lui avait fait tellement de bien, c’était inexprimable en quelque sorte. Réellement magique… Elle ne pourrait plus se passer de ce genre de sensation et pauvre de lui, il venait de devenir son punching bag. Si elle était assez forte, elle le serait également devant la véritable lopette à laquelle elle devait s’en prendre.
    « Tu crois que tu vas toujours te plaire Oliver? » demanda-t-elle d’une voix basse et sèche, elle était toujours accroupie près de lui. Elle ne bougeait pas et observait simplement l’homme. Elle prenait son temps, pourquoi devrait-t-elle se presser après tout?
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