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 Carl Hyde - Roi de l'île [Validé]

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Carl Hyde
Admin & Roi

Carl Hyde


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MessageSujet: Carl Hyde - Roi de l'île [Validé]   Carl Hyde - Roi de l'île [Validé] Icon_minitimeMer 18 Mar - 23:58

Nom : Hyde
Prénom : Carl
Age : 37 ans

Histoire :[25 lignes complètes minimum]

Carl habite New York depuis toujours. Il a eu une enfance très heureuse jusqu’à ses douze ans. À cette époque New York était en grande guerre politique, séparant la ville en deux parties, la haute et la basse ville. La haute ville étant habitée par les hauts dirigeants, le maire, l’argent étant très présente. La basse ville également appelée l’Undercity était l’endroit des meurtres …
Carl Hyde avait grandit au sein d’une famille aimante et croyante. John et Keyla, Des gens qui vivaient dans une certaine pauvreté, mais pour qui l’amour semblait régler tous les problèmes. À tous les jours, une prière était récitée sur l’heure du souper. Parents et enfants s’y joignaient, personne ne rechignait sur la prière, tous désiraient un changement, davantage d’argent surement, Carl et sa petite sœurs ne désiraient qu’une seule chose, que leurs parents soient aussi heureux qu’eux. Carl était le genre de garçon très actif, une petite tête brune aux yeux d’un bleu très foncé et profonds. Sa sœur Jessyka ne lui ressemblait pas tellement, plus Fraile, alors que son frère avait déjà une bonne carrure pour son âge, elle avait de magnifiques cheveux longs et blonds, mais le même regard que le garçon de quatre ans son ainé. À l’âge de douze ans pour Carl, c’était une belle vie, il prenait soin de la maison lorsque son père n’était pas là, s’occupant du terrain et des animaux, il faisait déjà preuve à l’époque d’une maturité hors du commun pour un gamin de son âge. Jessyka prenait soin de sa mère, qui déplorait souvent le manque d’argent. Des enfants parfaits, ce qui venait parfois faire un coussin pour la flagrante misère dans laquelle la famille baignait. Mais ce n’était pas fait pour durer selon le père. Voir sa femme et ses enfants devoir lutter pour survivre lui faisait douter de son rôle … de ses capacités. Il savait que dans ce monde, la seule façon de survivre, c’était en jouant sur un terrain nouveau; en travaillant de façon moins glorieuse. C’est ainsi, qu’à l’insu de sa famille bien évidement, il trouva le moyen d’apporter un peu de nourriture sur la table, puis rapidement, des luxes qu’ils ne s’étaient jamais procurés auparavant. Fournissant un peu de bonheur dans les yeux de sa femme et une nouvelle sécurité pour ses enfants. Bien qu’il savait que cette vie ne pouvait pas durer, il vivait dans le présent, voir ce nouveau sourire sur le visage de ses enfants est une réelle satisfaction pour un père, sont travail d’homme était en quelque sorte accompli.

Un soir, des hommes vinrent cogner à la porte. En voyant son mari sortir une arme, la mère de Carl et de Jessyka n’était pas dupe, depuis longtemps maintenant elle se doutait des mauvaises fréquentations de John. Mais elle ne disait rien, elle n’avait jamais rien dit puisqu’il n’écoutait pas. Mais ce soir, elle savait que cette visite était de très mauvais augures. Sa première action fut de dissimuler ses enfants, elle attrapa sa fille, qui rouspéta longuement, mais lorsque les hommes mirent les pieds dans la maison, la peur prit la place de cette curiosité qu’elle avait et elle se laissa emporter par sa mère qui la cacha dans une petite cabane dans le jardin. Elle lui somma de ne pas sortir, peut importe ce qui se passait, ce qu’elle pouvait entendre, elle devait rester là. Par un bref signe de tête de la petite fille de huit ans, Keyla sût qu’elle avait comprit, elle devait maintenant trouver son fils. Mais lorsqu’elle remit les pieds dans la maison, ce fut un véritable carnage, son mari se faisait battre avec une extrême violence, elle resta pétrifiée cette scène surréaliste qui se déroulait devant ses yeux. Ce qui la ramena sur terre; Les cris d’un petit garçon, qui n’avait pas peur, qui à ce moment, voulait défendre son père et sa famille, mais qui ne pouvait rien faire. Il était maintenu par un homme qui se délectait de la scène, qui la découvrait aux yeux d’un enfant furieux, plein de vigueur mais tremblant, tout son corps était secoué par des tremblements de rage et de peur. La mère de Carl ne put rester plus longtemps sans rien faire, dans un élan désespéré, elle agrippa la main de son fils avec toute la force d’une mère pouvait déployer pour protéger ses enfants. Elle le fit descendre au sous-sol, ouvrit la porte d’une sorte d’abri nucléaire, un endroit très fermé, sans la moindre lumière, une porte très résistante. Elle voulait y envoyer Carl, mais l’enfant résistait, répétant qu’il ne voulait pas les laisser. Mais c’était trop tard. Deux hommes venaient de les rejoindre. L’un d’eux frappa durement Keyla qui s’échoua sur le sol. L’autre repoussa Carl, puis le frappa lorsqu’il revint à la charge. Assommé, il ne remua pas davantage, même pas lorsqu’un des deux hommes vint s’assurer qu’il ne bougerait pas, mais qu’il regardait ce qui se déroulait devant lui … Il devait regarder le viol de sa mère, de la même façon qu’il avait dû assister au meurtre de son père. C’était malsain. Mais il n’avait rien à dire, et il n’était pas assez fort pour se soutirer de l’emprise de cet agresseur. Il entendait sa mère gémir et hurler de douleur. L’homme la traitait de salope, de chienne, il disait qu’elle aimait ça. La scène se poursuivit ainsi, sous les yeux d’un enfant terrorisé, et ce, jusqu’à ce que le violeur ai ce qu’il désirait. Ensuite il la tua d’une balle dans la tête. Ce n’était pas quelque chose qui avait échappé à l’esprit de Carl, toute sa vie, cette vision était là pour le hanter. Ce fut la suite qui devint plus nébuleux …

Sans le moindre intérêt, l’homme fit ce que la mère de Carl avait cherché à faire. Il l’enferma dans l’abri et l’abandonna là. Pourquoi il n’avait pas été assassiné ce jour là? Il ne le comprit que bien plus tard. Mais il fut laissé dans cette pièce durant des jours, sans le moindre espoir de sortir. Abandonné à lui-même, dans une noirceur total, sans nourriture, sans eau. Lorsqu’il fut retrouvé, il n’était que l’ombre de ce qu’il avait été. Un garçon maigrelet qui allait bientôt franchir la mince ligne invisible entre la vie et la mort. Il devait la vie à sa petite sœur, qui lorsqu’elle était parvenue à trouver des secours, elle n’avait cessé de répéter qu’elle avait un frère. Croire que Carl avait baissé les bras à ce moment là était mal le connaître, à douze ans il venait de vivre une expérience traumatisante, mais jamais il n’avait cherché à s’apitoyer sur son sort, il avait eu amplement le temps dans l’abri nucléaire de pleurer et déplorer la mort de ses parents. Maintenant il n’avait qu’un seul mot en tête; Vengeance. Sans la moindre crainte, il se jeta dans la gueule du loup. Il découvrit où se trouvaient les hommes qui avaient assassiné sa famille, sans le moindre plan, sans la moindre considération sur sa taille, sa force et son âge. Il ne savait même pas exactement ce qu’il voulait leurs faires. Son esprit n’était qu’une vaste étendue de noirceur. Ignorant tout des règles, ne prenant même pas goût à la nouvelle vie de famille qu’il pouvait obtenir. Jugeant que Carl était devenu un enfant sombre, renfermé sur lui-même alors que sa sœur au contraire de lui semblait mieux reprendre gout à la vie, ils jugèrent qu’il valait mieux les séparer, laisser du temps aux enfants. Mais personne ne se doutait que le jeune homme était en train de modifier totalement sa vision de la vie.
Peut de temps c’était passé lorsque Carl mit la main sur l’homme qui avait violé et assassiné sa mère. Il s’était glissé dans cette sorte d’usine désaffecté, transformée en repaire de mafieux et de criminels. Personne ne le vit agir, alors qu’il n’avait pas plus de treize ans à l’époque. Dans ce grand bureau, qui était celui de la personne qu’il recherchait, il l’avait immédiatement reconnu, il n’avait pas changé, ce qu’il dégageait était frappant, une force considérable, très intimidante pour un enfant. Il avait alors agrippé un presse-papier qui trainait sur le bureau et le lui avait violement enfoncé dans la nuque. Il eut un hurlement déchirant, puis plus rien. Carl avait évidement été neutralisé. Mais il avait encore une fois été épargné.

Carl ne ressortit pas de cet établissement avant plusieurs années. Il ne posait pas de questions, parlait très peu. Il fixait les gens avec une rage non dissimulée. Ils finirent par soutirer quelques informations de lui, cherchant tout de même à comprendre d’où il venait. Ils considéraient que l’assassin des parents de ce jeune homme avait commit une erreur; celle de l’avoir laissé en vie. Le droit de se venger du garçon était respecté. La vision des choses d’un criminel était particulière, il y avait un certain code d’honneur parmi toute cette bestialité. La rage de ce garçon était si intense qu’ils s’imaginaient très bien en faire un excellant tueur. Le mot était faible. Il serait le meilleur. Il resta avec eux jusqu’à sa majorité. Nourriture, logement, enseignement, tout s’accumulait en une dette qu’il devrait payer lorsqu’il serait en mesure de le faire. Carl apprenait rapidement, mais son caractère lui apportait bien des problèmes. Des punitions physiques la majeure partie du temps, mais rapidement ce fut bien dérisoire, il était résistant. Mais tout fonctionnait sous un système de punitions. Que ce soit physique ou psychologique. Ils firent rapidement un lien entre le futur tueur et les endroits où il était incapable de rester bien longtemps. Claustrophobe à un niveau assez élevé, ils lui faisaient subir ce qu’il était incapable de supporter. Renforçant et troublant l’adolescent, Carl devenait peu à peu un tueur endurcit qui ne craignait personne. Son premier meurtre fut celui pour qui il était là; Jimmy Throx. L’assassin de ses parents. Devenu vieux, ce ne fut pas une réelle difficulté pour le tueur qui venait d’atteindre sa majorité. Il bossa ensuite à son compte durant deux ans, histoire de payer ses dettes. Il savait ce qui lui arriverait si il ne le faisait pas. Puis un jour, il fut repéré par un certain Benny Sacramento, un homme dans la quarantaine, cheveux grisonnants, un charmeur, un beau parleur … Mais qui lui fit une proposition intéressante, une liaison d’affaire.

Bien qu’il tuait des gens, il n’avait jamais été quelqu’un de totalement méchant, d’exécrable. Il tuait ceux que l’ont lui disait de tuer, parce qu’ils devaient de l’argent, parce qu’ils nuisaient au bon fonctionnement de la basse ville. Et Carl avait un rêve. Il voulait une femme, une famille, des enfants, et il savait que lorsqu’il obtiendrait ça, il ne tuerait plus.

Quelques années plus tard il rencontra une femme. Sarah qu’elle s’appelait. Gentille, douce, tout ce qu’il avait toujours souhaité. Il se maria avec elle et ce prépara à quitter l’undercity. Mais le soir, après une soirée bien arrosé, lorsqu’ils retournèrent à la maison, elle tenta de l’assassiner. Il ne comprenait pas ce qu’il lui arrivait, sa femme, celle qu’il aimait tant, pourquoi voulait t’elle le tuer? Après plusieurs coups de balle, elle lui expliqua qu’elle ne l’avait jamais aimé. Qu’elle travaillait pour un autre caïd, qu’elle se prostituait … Elle avait couché avec toute une myriade d’autres hommes, même en étant avec lui. Lorsqu’elle l’attaqua à nouveau, il parvint finalement à se défendre, il la frappa fortement à la tête avec une bouteille. Elle se mit à pleurer, lui demandant pourquoi il la frappait en se collant contre elle. Il ne savait plus quoi faire, incapable de tuer la femme qu’il aimait. Puis elle porta un coup qui aurait pu être fatal, elle lui lacéra le dos, à la colonne vertébral d’un bout de verre. Il la frappa une nouvelle fois à la tête, puis encore, jusqu’à ce qu’il la sente sans vie, et qu’il soit totalement taché de sont sang …

Ensuite Carl changea. Il détestait les prostituées. Il n’aimait pas particulièrement l’idée que les femmes se prostituent avant cette soirée là. Mais ce n’était plus le même genre d’opinion. Il tua plusieurs prostituées sans réels motifs. Il ne détestait pas les femmes mais pour lui elles étaient toutes des putes jusqu’à preuve du contraire Il était devenu dangereux, particulièrement pour les femmes. Il ne se gênait pas pour les frapper et les détester ouvertement. Les femmes du bar le fuyait ou le détestait ouvertement. Un soir, une surprise l’attendait dans son appartement. Des femmes avaient été avisés de ses petites actions envers les femmes. Il fut enlevé et apporté sur l’île où il devint un prisonnier des femmes…
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MessageSujet: Re: Carl Hyde - Roi de l'île [Validé]   Carl Hyde - Roi de l'île [Validé] Icon_minitimeMer 18 Mar - 23:58

Portrait moral (caractère , ...) : [ 10 lignes complètes minimum ]

Carl est un être profondément impulsif. Il n’aime pas beaucoup parler préférant largement les poings aux discutions. Il donne l’impression d’être stupide parce qu’il agi toujours précipitamment sans justement prendre le temps de songer aux conséquences de ses actes. Il est agressif et violent. Particulièrement depuis la tentative de meurtre de sa femme. Il n’aime pas les femmes à moins qu’elles leurs donnent une bonne preuves de bonne foi, mais généralement il ne leurs donne pas l’occasion de s’approcher de lui. Il est mauvais acteur et ne sait pas mentir. Pourquoi? Simplement parce qu’il n’a jamais eu à le faire. Tuer des gens … Il n’a pas besoin de mentir pour le faire. Il tue et c’est tout. Mentir, il en est incapable, il n’a jamais sût le faire … Totalement antisocial. Il ne fait même pas de bonnes blagues. Il n’aime pas travailler en équipe. C’est quelqu’un d’orgueilleux, il ne se laisse pas marcher sur les pieds. Il n’est pourtant pas quelqu’un de vantard et il se fiche totalement de l’opinion des autres sur lui, peut importe ce qu’il fait, il s’en fiche royalement. C’est un homme avec des valeurs bien encrés, et pas forcément les bonnes sur lui…

Particularités : [facultatif ] Fiancé à Célia, père d’un petit garçon nommé
Description physique : [ 7 lignes complètes minimum]

Carl est un bel homme, physiquement … Bien que l’intérieur laisse parfois à désirer. Il est de grandeur moyenne environ 5p10, mais ce défend bien en muscle. Il est fort et il le sait, bien qu’il soit loin d’être vantard. Il n’a jamais fait de musculature mais disons de sont métier lui permet de bien rester en forme. Carl aime la propreté, il port généralement de beaux habits, restant tout de même dans le neutre il porte rarement une autre couleur que le noir. Il a les cheveux brun cour bien qu’ils soient parfois longs, et les yeux bleu-vert. Il a souvent un air antipathique et ne tente pas du tout de démontrer qu’il peut être quelqu’un de bien. Il ne sourit que très peu mais il y a tout de même des choses qui peuvent le rendre heureux. Possiblement... Il a de larges épaules et malgré sa grandeur pas réellement imposante, il sait totalement s’imposer …

Divers concernant votre personnage :
Aimeriez vous être gardien(ne) ? oui - non

Pour les Hommes :
Désirez-vous être employé sur l'Ile, si oui quel à quel poste ?
Roi des Réfugiés, il se bat pour prouver à sa fiancée quel sont les dangers de cette île. Ce n’est pas exactement la bonne façon d’agir.

Arrivée ou Passé sur l'Ile : Un lourd passé sur l’île pour l’homme qui est là depuis pratiquement les tout début. Après de nombreuses colères et punitions physique, il trouva l’amour en la reine de l’île. Une relation compliquée, mais personne ne pouvait nier qu’ils s’aiment à la folie ses deux là. Toutefois ce ne sont pas toutes les femmes qui voient cette relation d’un bon œil et malgré la protection vouée à Carl, certaines d’entres elles ne respectaient pas exactement le choix de Célia d’aimer Carl. Ils eurent toutefois un enfant ensemble. Carl reprochait souvent à sa fiancée de ne pas vouloir partir. Il comprit rapidement qu’elle se jouait de lui et quitta lui-même l’île. Il retourna à New York. Rapidement, il comprit que ce n’était pas ce qu’il désirait. Et il se rendit compte que des femmes le suivaient depuis son arrivée. Il se procura des armes et décida d’agir. Sachant pertinemment que des gens seraient blessés, cela ne dérangeait pas l’homme amoureux de la reine. Il força les femmes à le faire revenir et il prit la tête d’une partie de l’île, libéra les hommes et mit l’île des Amazones sans dessus, dessous… Un homme mauvais, guidé toutefois par l’amour. Est-ce que les hommes resterons dupe encore longtemps?

Avatar choisi : Russell Crowe

Pour les Postes Vacants
Exemple de message RP de 20 lignes minimum[Obligatoire uniquement pour les nouveaux inscrits]


HJ

Prénom : Carlouu
Sexe : HU
Age : 18 ans
Comment avez-vous connu le forum ? J’y suis depuis un moment hein
Des idées ou suggestions par rapport au forum ?[/center] Mi nan
Vos disponibilités pour poster: assez présent
Les 3 Mots de passe présents dans le règlement: ***
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