Allan Baldwin [Validé - Esclave des femmes]

Histoire : Une petite vie tranquille, le luxe avait accueillit Allan dans ses bras, le petit bout qu'il était né avec une cuillère en argent dans la bouche, la vie lui avait donné tout ce qu'un autre enfant aurait voulu avoir, une nounou, des jeux à n'en plus finir, des cadeaux encore et toujours, une intelligence précoce, et une beauté qui allait rendre dingue plus d'une demoiselle. Son avenir était tout tracé, plus il grandissait et plus il en voulait encore et toujours, "plus", il n'avait que ce mot à la bouche, et ses parents se résignaient à chaque fois, le petit garçon était devenu un adolescent avare et avide, il aimait profiter des autres, de part sa condition, de par son intelligence et sa beauté. L'adolescent aimait tout ce qui brillait, il voulait quelque chose et il l'obtenait à chaque fois, oui à chaque fois, jamais ses parents ne lui ont refusé quoi que ce soit. Une grande carrière l'attendait, une grande vie, un avenir de roi, un jour il tiendrait le monde dans la paume de sa main.

C'est tout naturellement qu'il se destinait à la politique, un jeu auquel il était très fort, très bon orateur, sa voix captivait les foules, sa voix mielleuse et attendrissante en faisait quelqu'un de très apprécié. Toujours de bon conseil, il aidait les autres, mais en retour, il pouvait les utiliser, les manipuler comme des pantins dont il tiendrait les ficelles. Personne ne le craignait, personne ne se doutait de la personnalité machiavélique de cette homme. Tout le monde lui ouvrait ses portes, qu'il poussait sans aucun ménagement. La Californie était remplit de pigeons, il rentrait le soir le sourire aux lèvres, content de sa journée, il savait qu'un jour que toutes les personnes qu'il aidait lui en redevrait une tôt ou tard. Son objectif, la maison blanche, s'asseoir au sommet du monde, l'Olympe contemporaine. Sa soif de puissance était sans limite, sans aucune demi-mesure il grimpait les échelons. Sans même participer à tout les cours auquel il devait assister, il s'en sortait brillamment à chaque fois, une véritable tête, un génie.

Toutes les jeunes femmes de son âge était à ses pieds, lui faisant la cour en passant dans les couloirs de l'université, une compétition s'était même installé pour celles qui voulait sortir avec cette personne. Il en avait eu vent, et cela l'amusait beaucoup, oui terriblement, il profitait de chaque nuits, de chaque instants. Il n'était jamais agressif, la diplomatie est la meilleure arme que l'homme ait jamais inventé, c'est l'ambition qui lui avait apprit cela, l'ambition démesuré qu'il portait au toit du monde, tel un aigle, il s'envolait vers les cieux, planant près des plus hautes sphères du monde. Il ne faisait rien pour y arriver, seul le vent le portait vers les hauteurs. Tout le désignait pour avoir un destin hors du commun. Les années passèrent, le jeune homme avait mûrit dans ses idéaux, les hommes ne sont pas plus important que des insectes qu'il pouvait écraser d'un simple claquement de doigt. Et pourtant tout le monde l'aimait, l'adulait. Les soirées passées avec lui le montre, tout le monde était à sa botte, meneur, drôle, patient, romantique, toutes ses qualités lui donnait le monde à ses pieds. Personne ne pouvait se douter, non personne...

Il faisait tout dans la démesure, soirées dans sa prestigieuse villa, boissons et cocaïne à volonté, ses soirées ressemblaient à de véritables orgies de l'antiquité grecque, il était déjà le roi, il demandait quelque chose, ses sujets accouraient. La vie est une garce, il faut savoir la prendre correctement, les désirs des autres ne leur appartenaient plus, il était maître de leur moindre faits et gestes. Vingt cinq ans déjà, et le pays tout entier allait bientôt le connaître, il se présentait aux élections du Sénat, Allan captivait et suscitait l'admiration, la plèbe voyait en lui quelqu'un de brillant qui présentait la politique sous un nouveau jour, ses idées étaient ceux des américains, il leur donnait ce qu'il voulait entendre. Et pourtant...Tout bascula, du jour au lendemain, il disparut sans laisser de traces, sans un mot, il retournait au néant...Personne ne savait pourquoi...La peur ? Non...Juste une île...

Portrait moral (caractère , ...) : Allan n'est pas un salaud dans le sens propre du terme, il aime profiter de la vie, il a tout pour lui, son ambition démesuré l'a presque conduit au sommet. C'est quelqu'un d'intelligent pervers, il aide les autres pour les utiliser par la suite, c'est sa philosophie : « Je t'ai donné quelque chose, tu me donneras plus tard quelque chose en retour ». C'est un manipulateur, un grand manipulateur, il est sociable, romantique, gentil et attentionné, pourtant ces qualités cachent une immonde vérité, il écrasera un jour ou l'autre ses amis, tout est bon pour arrivé au sommet, tout est bon pour réussir et contrôler le monde. C'est un mégalomane en puissance, tout les autres en comparaison ne seraient que des enfants de choeur. C'est un grand flemmard, son cerveau lui apporte déjà tout, alors pourquoi travailler pour réussir, alors qu'il y arrive très bien sans ? Quand il veut quelque chose, il l'obtient par n'importe quel moyen sauf la violence, cela pourrait ternir sa réputation et être un grand obstacle pour ses ambitions. Car un jour, sa folie éclatera au grand jour, mais il sera déjà trop tard, trop tard pour revenir en arrière, le mal sera déjà fait sans que l'on s'en aperçoive. Il pourra alors poignarder tout le monde dans le dos sans ménagement, car c'est un monstre de perversité, une gueule d'ange, cachant un être vil et froid. Il méprise les autres, sans jamais le dire, il hait la nature humaine, il n'aime que lui, c'est un grand narcissique, pensant que personne ne peut être aussi doué que lui, aussi bon dans ce qu'il fait.

Description physique : Une gueule d'ange, c'est ce qu'on voit le premier chez cette personne atypique, Allan mesure un mètre soixante-quatorze pour soixante cinq kilogrammes, ni mince, ni gros, ni même athlétique. Ses cheveux sont sombre comme la nuit, un brun absolu, noir comme l'ébène, des mèches lui retombent sur le visage, soulignant ses beaux yeux bleu, si pâle, et pourtant qui lui donne tant de charisme. En effet un charme fou se dégage de ce visage angélique, triangulaire, parfaitement dessiné. Si Dieu l'a dessiné à son image, ce con était bougrement beau. Bref ! Allan porte des habits somme toute assez classe, variant du blanc au noir, ou du noir au blanc, il n'aime pas arborer des couleurs chaudes et chatoyantes, il préfère rester dans le sobre. Chemises de grands couturiers, il en va de même pour la veste et les pantalons.

Divers concernant votre personnage : ////

Avatar choisi : Gaspard Ulliel